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 urbanisation de Paris

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2 participants
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MessageSujet: urbanisation de Paris   urbanisation de Paris Icon_minitimeSam 15 Mar - 16:10

Je suis l'homme qui urbanisa le Paris moderne. Qui suis-je
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mmpegase

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MessageSujet: Re: urbanisation de Paris   urbanisation de Paris Icon_minitimeDim 16 Mar - 0:40

Le baron Haussmann ?

mmpegase
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MessageSujet: Re: urbanisation de Paris   urbanisation de Paris Icon_minitimeDim 16 Mar - 14:15

oui mmpegase felicitations continuez a jouer et mettez vos propres questions
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MessageSujet: Re: urbanisation de Paris   urbanisation de Paris Icon_minitimeDim 16 Mar - 19:43

Georges Eugène Haussmann

https://servimg.com/view/11457190/86
Georges Eugène Haussmann

https://servimg.com/view/11457190/87

Boulevard Haussmann, Paris

Georges Eugène Haussmann (27 mars 1809 - 11 janvier 1891), couramment appelé le "baron Haussmann", a été préfet de la Seine du 23 juin 1853 au 5 janvier 1870. À ce titre, il a dirigé les transformations de Paris sous le Second Empire en élaborant un vaste plan de rénovation.
Né à Paris le 27 mars 1809 au 55 rue du Faubourg-du-Roule, dans le quartier Beaujon,maison qu'il n'hésitera pas à faire démolir.il est le fils de Nicolas-Valentin Haussmann (1787-1876), protestant, commissaire des guerres et intendant militaire de Napoléon Ier et d'Eve-Marie-Henriette-Caroline Dentzel (fille du général Dentzel, baron d'Empire) et le petit-fils de Nicolas Haussmann (1759-1847), député de l'Assemblée Législative et de la Convention, administrateur du département de la Seine-et-Oise, commissaire aux armées. Il fait ses études au collège Henri-IV puis au lycée Condorcet à Paris, puis il entame des études de droit tout en étant au conservatoire de musique de Paris. Son oncle Louis Haussmann étant maire de Versailles depuis 1831. Il se marie le 17 octobre 1838 à Bordeaux avec Octavie de Laharpe, protestante comme lui. Il en aura deux filles, Henriette Haussmann épousera en 1860 Camille Dollfus, banquier, Valentine Haussmann épousera en 1865 le vicomte Maurice Pernéty, chef de cabinet du Préfet de la Seine puis divorcée, en 1891 Georges Rénouard.
o
Nommé le 21 mai 1831 secrétaire général de la préfecture de la Vienne à Poitiers puis sous-préfet d'Yssingeaux le 15 juin 1832. Le 9 octobre 1832 sous-préfet de Nérac, sous-préfet de l'Ariège le 19 février 1840 à Saint-Girons, puis à Blaye le 23 novenbre 1841, il devient ensuite préfet du Var le 24 janvier 1849 puis de l'Yonne le 15 mai 1850; à Bordeaux le 26 novenbre 1851. Présenté à Napoléon III par Victor de Persigny, ministre de l'Intérieur, il devient préfet de la Seine le 22 juin 1853, succédant ainsi à Jean-Jacques Berger et à Rambuteau.
La transformation de Paris]
.


Avenue de la Grande-Armée
Au milieu du XIXe siècle, Paris se présente à peu près sous le même aspect qu'au Moyen Âge. Napoléon III veut une capitale aussi prestigieuse que son pouvoir, ce qui sera le point de démarrage de l'action du nouveau préfet.
L'idée maîtresse des travaux est une meilleure circulation de l'air et des hommes, en adéquation avec les théories hygiénistes qui sont alors en plein essor, suite à l'avènement des « Lumières » au XVIIIe siècle et à l'épidémie de choléra de 1832. La volonté d'entraver d'éventuels nouveaux soulèvements populaires, en souvenir de ceux de 1830 et 1848, entre aussi en jeu. Cette campagne sera intitulée « Paris embellie, Paris agrandie, Paris assainie ».
Haussmann a l'obsession de la ligne droite, ce que l'on a appelé le « culte de l'axe » au XVIIe siècle. Pour cela, il est prêt à amputer des espaces structurants comme le jardin du Luxembourg mais aussi la démolition de certains bâtiments comme le marché des innocents ,l'église Saint- Benoit. Certains axes ouverts sous Louis XIV sont élargis et deviennent les « Grands Boulevards ». Des boulevards et avenues sont percés de la place du Trône à la place de l'Étoile, de la gare de l'Est à l'Observatoire. Haussmann donne également aux Champs-Élysées leur visage d'aujourd'hui.
Il aménage un certain nombre de parcs et jardins afin de permettre à la population de respirer. C'est le cas du jardin du Luxembourg, du parc Montsouris ou encore du parc des Buttes-Chaumont. D'autres espaces déjà existants sont transformés et passent du statut d'espaces verts à celui de hauts lieux voués à la promenade.
Des règlements imposent des normes très strictes quant à la hauteur et au style architectural des édifices. L'immeuble de rapport et l'hôtel particulier s'imposent comme modèles de référence. Les immeubles se ressemblent tous : c'est l'esthétique du rationnel.
Afin de mettre en valeur les monuments nouveaux ou anciens, il met en scène de vastes perspectives sous forme d'avenues ou de vastes places. L'exemple le plus représentatif est la place de l'Étoile d'où partent douze avenues dont la plus célèbre de toutes : l'avenue des Champs-Élysées.il souhaite aussi créer des églises ,afin d'influencer la population sur les progrès de l'industrialisation.Car à cette époque l'église et l'État sont très liés.
Il crée en parallèle, avec l'ingénieur Belgrand, des circuits d'adduction d'eau et un réseau moderne d'égouts.
Cette transformation a un coût très élevé, puisque Napoléon III souscrit un prêt de 250 millions de francs en 1865, et un autre de 260 millions de francs en 1869.
Au total, on estime que les travaux du baron Haussmann ont modifié Paris à 60 %...
Honneurs et critiques
https://servimg.com/view/11457190/88

Rue de Paris, temps de pluie (1877) de Gustave Caillebotte
Son activité au service de la transformation de Paris lui a permis d'accéder à la fonction de sénateur en 1857, de membre de l'Académie des Beaux-Arts en 1867 et de chevalier de la légion d'honneur en 1847 puis grand-officier en 1856 puis grand-croix.
Sa qualité de baron a été contestée. Comme il l'explique dans ses Mémoires 1, il a utilisé cette appellation après son élévation au Sénat en 1857, en vertu d'un décret de Napoléon Ier qui accordait ce titre à tous les sénateurs. Il aurait refusé d'une boutade le titre de duc proposé par Napoléon III (cf anecdotes). Le Dictionnaire du Second Empire 2, toutefois, estime qu'Haussmann a utilisé ce titre en se basant, de manière abusive, sur l'absence de descendance mâle de son grand-père maternel, Georges Frédéric baron Dentzel.
Son œuvre n'en reste pas moins contestée à cause des sacrifices qu'elle a entraînés. Les méthodes employées ne s'encombrent en effet pas des principes démocratiques, et les manœuvres financières sont assez douteuses.
Les nouvelles lois d'expropriation entraîneront plus tard de nombreuses contestations et pousseront à la faillite de nombreux petits propriétaires qui ont vu leurs biens détruits. En parallèle, les nouveaux règlements imposent des constructions d'un niveau de standing élevé. Il en résulte une forte spéculation immobilière qui exclut de facto les classes les moins aisées de la société parisienne.
Une partie de la population manifeste son mécontentement en même temps que son opposition au pouvoir en place. En 1867, le baron Haussmann est interpellé par le député Ernest Picard. Les débats houleux que le personnage suscite au sein du Parlement entraînent un contrôle plus strict des travaux, qu'il avait habilement évité jusque-là. Jules Ferry rédige la même année une brochure intitulée : « Les Comptes fantastiques d'Haussmann » 3, par allusion aux Contes fantastiques d'Hoffmann. On l'accuse, à tort, d'enrichissement personnel
Le Baron, qui avait un temps espéré entrer au gouvernement pour mettre en œuvre ses idées à l'échelle du territoire national, est destitué de son pouvoir par le nouveau cabinet d'Émile Ollivier le 5 janvier 1870, quelques mois avant la chute de Napoléon III. Son successeur est Léon Say, mais Belgrand et surtout Alphand conservent un rôle prépondérant et poursuivent l'œuvre d'Haussmann.
Après s'être retiré pendant quelques années à Cestas près de Bordeaux, Haussmann revient à la vie publique en devenant député de la Corse de 1877 à 1881. Il reste bonapartiste malgré le retour de la République. Il consacre la fin de sa vie à la rédaction de ses Mémoires (1890-1891), un document important pour l'histoire de l'urbanisme de Paris.
Le baron Haussmann meurt le 11 janvier 1891. Il est enterré au cimetière du Père-Lachaise à Paris.
Anecdotes]
• Haussmann mesurait 1,90 m.
• Ernest Renan raconte que Haussmann a fait disparaître une île entière en Bretagne, l'île Grande, pour obtenir la pierre nécessaire à ses travaux. L'écrivain exagère quelque peu, car l'île est toujours là mais on peut voir sur celle-ci d'imposantes carrières datant de l'époque de ces travaux.
• On a prêté à madame Haussmann cette remarque naïve ou cynique : « Mon mari et moi n'avons pas de chance. Dès que nous nous installons quelque part, nous en sommes expropriés ! »
• Haussmann raconte dans ses Mémoires que Napoléon III voulait donner son nom à la partie du boulevard de Sébastopol qui s'étendait sur la rive gauche (actuel boulevard Saint-Michel). Le préfet refusa en feignant la modestie. En réalité il espérait, et obtint en fin de compte, que son nom revienne à un boulevard dont l'idée lui revenait plus directement et au bord duquel il était né (dans une maison qu'il dut d'ailleurs détruire) : c'est l'actuel boulevard Haussmann.
• Afin de montrer son peu d'attachement aux titres officiels, il rapporte dans ses Mémoires le dialogue suivant, où un interlocuteur lui suggérait qu'il pourrait être nommé duc de la Dhuis, en référence aux travaux d'Haussmann par lesquels l'eau de cette rivière était venue alimenter Paris. Haussmann objecte :
« De la Dhuis ? Mais, alors, Duc, ce ne serait pas assez.
— Que voulez-vous donc être ?... Prince ?
— Non ; mais il faudrait me faire Aqueduc, et ce titre ne figure pas dans la nomenclature nobiliaire. »
• Haussmann fut surnommé "Attila" par les parisiens, en reférence à ses démolitions massives d'immeubles.
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nanie1

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MessageSujet: Re: urbanisation de Paris   urbanisation de Paris Icon_minitimeMar 18 Mar - 10:14

très intéressaant
merci à vous
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MessageSujet: Re: urbanisation de Paris   urbanisation de Paris Icon_minitime

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