homme celebre

peut etre Pierre Mendes France

Moins connu, mais plus à gauche.

ca fume ,ca reflechit peut etre une lumiere Marcel Ayme

Plus politique que Marcel Aymé, mais Franc Comtois aussi.

Noël Copin

ne peut pas etre Noel Copin ou erreur dans les indices

oui il est mort au 21 eme  bon   

Noel Copin, la croix, ça me semble plutot de droite.
Il a aussi traduit des ouvrages latins.

merci f pense avoir trouve sur wiki merci
Alors disons Georges Cogniot suis ereinte,cerveau en boullie et ne me dis pas que c'est pas lui sinon grimpe aux rideaux et monde à la montagne des singes manger des cacahouettes

Gagné Chardonnay.
Aujourd'hui j'aurais donné un indice à Brimbelle : elle est passée devant sa maison natale lorsqu'elle est venue me rendre visite.
J'ai bien connu ses frères épicier et facteur du village. Lui, j'ai du le croiser étant enfant, mais je n'en garde aucun souvenir.

Georges Cogniot, né à Montigny-lès-Cherlieu (Haute-Saône) le 15 décembre 1901 et mort à Gagny (Seine-Saint-Denis) le 12 mars 1978, est un écrivain, philosophe et homme politique communiste français.
Élève au lycée Gérôme à Vesoul, il passe ses vacances à Navenne à travailler la vigne ; il suit ensuite des cours de rhétorique supérieure à Lyon.

Normalien (promotion 1921), il adhère la même année au Parti communiste français et lutte au sein de l'Internationale des travailleurs de l'enseignement (permanent en 1928). Agrégé de lettres en 1924, il participe ensuite à des meetings en soutien à l'Espagne républicaine, lutte contre les accords de Munich, et entre au parlement français en 1936.

Proche collaborateur de Maurice Thorez (il est le fondateur de l'Institut Thorez), représentant du PCF au Bureau d'information des Partis communistes (Kominform) de septembre 1936 à octobre 1937 et membre du Comité central de 1936 à 1964, il est également rédacteur en chef du journal communiste L'Humanité (1937-1947).

De 1939 à 1944, il est soldat, prisonnier, militant clandestin, détenu politique à Compiègne Royallieu, d'où il s'évade avec dix-sept autres détenus, le 22 juin 1942[1]. Il est réélu député de la IVe République, puis sénateur sous la Ve.

Une des ses maximes : « Les jeunes n'ont ni à nous vénérer, ni à nous excuser, nous leur demandons de nous comprendre. »

Vraiment belle maxime

heu ... ça ne m'aurait guère aidée ... mm...

C'est dans ma rue ...

à ton tour ....chardonnay .

Fit ses etudes de droit à Paris