bizarre....

Un âne égyptien a été condamné à vingt-quatre heures de prison pour avoir subtilisé du maïs dans un champ du delta du Nil, a indiqué jeudi le quotidien pro-gouvernemental Al-Ahram.

La bête a été arrêtée en possession d'épis de maïs appartenant à un centre de recherches agricoles de la région.

L'animal et son propriétaire ont été appréhendés à un barrage de police, érigé sur la route après que le directeur du centre eut porté plainte pour vol.

Le propriétaire de l'âne voleur a été, lui, condamné à 50 livres égyptiennes (6 euros) d'amende.

Le journal n'a pas précisé si la condamnation d'un animal était une première en Egypte.

Le pilote suisse Yves Rossy, dit "FusionMan", doit tenter jeudi un vol entre Calais et Douvres avec une aile en carbone munie de quatre réacteurs fixée sur son dos, a-t-on appris mercredi auprès de son équipe.

oh lala il me fait peur

De plus en plus bizarre ces alsaciens



Extrait du journal l'Alsace du 25 10 2008

incroyable ça

sont vraiment partout ... ces alsaciens ....

et sont forts ..... la preuve ....

A l'approche de son 30e anniversaire, le Royal Palace, un music hall perdu entre vergers et maïs à Kirrwiller (500 habitants), prospère grâce une politique de recrutement agressive et un marketing efficace, selon son propriétaire Pierre Meyer.

Observé d'abord avec une curiosité amusée par les gérants des grandes salles parisiennes, cet Alsacien bon teint de 56 ans, moustache lissée et cravate kitsch, a patiemment transformé le dancing de ses parents pour en faire une des scènes françaises qui compte avec ses ballets et ses numéros de cirque repérés à Monte-Carlo, Budapest ou Pékin.

Ce "Las Vegas en Alsace", comme le chantent ses girls, accueille chaque année 180.000 spectateurs dont 20% venus des pays voisins.

A la tête d'une entreprise d'une centaine de salariés qui brasse un chiffre d'affaires de 4 millions d'euros, M. Meyer explique les raisons de sa "success story".


"Avant chaque revue, je vais chercher les meilleurs spectacles aux quatre coins du monde" explique-t-il. Huit jeunes acrobates chinoises ainsi que des artistes russes, bulgares, ukrainiens, australiens ou britanniques participent cette année à la revue "Artifices".
Des clients dînent le 10 septembre 2008 dans le restaurant du Royal Palace de Kirrwiller (Photo Patrick Hertzog/AFP)


Il se démarque ainsi des music hall parisiens qui renouvellent peu leurs spectacles. "C'est une clé du succès puisque le changement annuel de revue - la 28e cette année - fait revenir le public", constate-t-il.

Cela a un coût, admet le directeur qui vient de finir de rembourser ses emprunts pour la construction de l'immense bâtiment blanc qui tranche avec les petites maisons à colombages alentour.

Il s'est "offert" un grand escalier qui a coûté 180.000 euros et ne sert que pour le final. Ont suivi une machine pour faire de la pluie, une nouvelle avant-scène et la dernière technologie en matière d'éclairage, soit une addition d'un demi-million d'euros, mais "il faut étonner le public et ne pas se laisser distancer", indique-t-il.

Les tarifs de cet "Îlot de strass au milieu de nulle part", comme l'indique le catalogue du Royal, ont été particulièrement étudiés.

Pour les matinées, très prisées des comités d'entreprise et des clubs de retraités, il en coûte 40 euros pour un déjeuner dansant au Majestic (880 places) suivi du spectacle.
Lors du spectacle du Royal Palace à Kirrwiller (Photo Thomas Wirth/AFP)
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Le soir, une clientèle plus aisée peut goûter le menu "Elégance" au Versailles (150 places) avant d'applaudir les artistes pour 80 euros, une formule qui draine beaucoup d'hommes d'affaires et leur clientèle.

"On affiche complet au-delà de Noël", indique le secrétariat.

Monsieur Loyal attentif, le patron veille cet après-midi-là sur ses hôtes, faisant baisser la climatisation dès qu'une dame remet sa petite laine. Et lorsqu'on lui annonce qu'un autocar est en panne, il fait retarder le spectacle.

"Les passagers ont payé, ils ne doivent pas être privés du premier tableau bourré d'effets spéciaux avec un piano qui s'élève dans les airs" explique-t-il.



Ces illusions ont été créées par Dani Lary "qui a débuté chez moi avant de rejoindre à la télé l'émission de Patrick Sébastien", annonce-t-il avec fierté.

Le parking, "agrandi cette année", accueille des cars proposant son spectacle en point d'orgue à un séjour en Alsace.

Les spectateurs confirment avec satisfaction: "On a fait la cathédrale de Strasbourg, la route des vins et pour finir le Royal Palace" expliquent Gérard et Françoise Baixas, des Niçois en vacances.

Pour nous autres alsaciens, nous ne trouvons pas cela bizarre, c'est alsacien donc normal

un peu bizarre ceux la heum

hé bien dis donc

Les fans de Napoléon préparent un mémorial aux chevaux tués pendant la bataille d'Austerlitz qui vit en 1805 la victoire de l'empereur français sur les armées russes et autrichiennes, a-t-on appris mardi auprès de la Société napoléonienne d'Europe centrale (CENS).

"Nous voudrions une statue de cheval, si possible à l'échelle si nous parvenons à réunir les fonds", a déclaré à l'AFP le président de la CENS Ivan Vystrcil.

Sur le site aujourd'hui dénommé Slavkov, dans l'est de la République tchèque, quelque 5.000 chevaux ont été tués pendant la bataille dite "des trois empereurs, selon le CENS.

Le 11 frimaire de l'an XIV, 71.000 soldats de la Grande armée ont mis en déroute en moins de six heures les 91.000 hommes des troupes russes et autrichiennes. L'affrontement laissa 19.000 morts et blessés du côté des vaincus, 9.000 de l'autre.

Pour son mémorial équestre, le CENS qui organise chaque année une vaste reconstitution de la bataille à Slavkov a fait appel à un sculpteur renommé localement, Nikos Armutidis, qui présentera son oeuvre l'année prochaine.

Le but est de rendre hommage à la bravoure des plus nobles amis de l'homme, qu'aucun mémorial de Slvakov n'honore pour l'instant. Selon M. Vystrcil, à l'époque, les animaux ont abandonné à leur sort: "il faisait froid, tout le monde avait faim, l'armée et les habitants locaux se sont sans doute occupés des carcasses".

Les magasins de coffres-forts parisiens ont constaté une hausse significative des ventes aux particuliers ces dernières semaines, un phénomène attribué à l'inquiétude liée aux incertitudes sur la santé des banques.

Le magasin Solon, spécialiste du coffre-fort à Paris depuis 1920, a vu son chiffre d'affaires croître de 30% à 40% ces trois à quatre dernières semaines, depuis la faillite de la banque d'investissement américaine Lehman Brothers, mi-septembre.

Hugo Gervaise, responsable commercial, compare le phénomène à l'inquiétude qui s'était emparée de certains Français aisés à l'arrivée au pouvoir du président socialiste François Mitterrand, en 1981.

"Les gens disent clairement qu'ils ont peur, qu'ils veulent vider les coffres, transformer leur argent en or ou récupérer leurs napoléons et tout mettre à l'abri dans un coffre", témoigne-t-il.

Tous les modèles de coffres, de 30 centimètres à 1,80 mètre de haut, facturés d'une centaine d'euros à 13.000 euros, sont concernés par la hausse.

Une clientèle variée afflue dans le magasin. "Ça va du P-DG au particulier lambda. Des Parisiens, des gens de banlieue, de province, de partout", raconte Hugo Gervaise.

Le commercial reconnaît que son secteur fait partie des professions qui profitent de la crise.

Le même phénomène a été constaté par un autre spécialiste du coffre-fort de la capitale, Point Fort Fichet, dans le XVIe arrondissement.

"Depuis 15 jours, trois semaines, on a une plus grosse demande de renseignements et d'achats de petits coffres entre 300 et 500 euros", a déclaré un commercial du magasin, Jonathan Chazeau, sans être en mesure de chiffrer la hausse des ventes.

Le phénomène semble limité à Paris. Plusieurs vendeurs de coffres contactés par Reuters dans le Lyonnais et sur la Côte d'Azur ont affirmé ne pas avoir constaté de hausse des ventes particulière.